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Le gouvernement veut intervenir auprès des entreprises qui font trop peu sur la sécurité sur Internet
Non seulement chez Shell et KLM, mais aussi dans de nombreuses petites entreprises et organisations, nous constatons que les risques liés à la cybercriminalité font l’objet d’une attention insuffisante. Le secteur de l’assurance signale également qu’il y a peu d’attention à la prévention ou à la couverture de ces risques, alors que de nombreuses entreprises dépendent de l’informatique et que le coût de la perte de données ou d’une journée sans accès aux systèmes d’information ne l’emporte pas sur les coûts d’assurance.
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Dans le Dagblad financier du 3 octobre 2019, cela est souligné une fois de plus :
Le ministre de la Justice Ferdinand Grapperhaus veut se débarrasser de la cybersécurité
Le gouvernement va prendre des mesures plus sévères contre les entreprises qui ne mettent pas en ordre leur sécurité Internet ont. Le Cabinet veut être en mesure de traiter plus durement avec les entreprises ou organisations qui exposent le public à des risques parce qu’ils ne protègent pas correctement leurs réseaux informatiques contre les pannes et les attaques de pirates informatiques. Avec des amendes, ou si nécessaire en intervenant vous-même.
Cela dit le ministre de la Justice et de la Sécurité Ferdinand Grapperhaus dans une conversation avec la FD. « Nous devons pouvoir dire à une entreprise : « Si vous n’en prenez pas soin vous-même, nous le ferons. »
Récemment De Volkskrant a rapporté que les réseaux internes de « centaines » d’entreprises et d’institutions gouvernementales sont largement ouverts aux pirates depuis des mois. Les organisations n’avaient pas apporté de mise à jour importante de leur logiciel VPN, qui sécurise la connexion entre le réseau interne et Internet. Bien qu’il soit connu que le logiciel contenait une fuite, les entreprises ont ignoré les alertes du National Cyber Security Center (NCSC).
Il illustre l’impuissance du gouvernement. Si Le piratage ou un dysfonctionnement peut provoquer une panne des entreprises, cela peut perturber la société et conduire à des situations dangereuses. Mais le gouvernement n’a pas encore la possibilité de vérifier si la sécurité est en ordre et peut-être d’intervenir, comme l’a noté le Conseil scientifique pour la politique gouvernementale (WRR) dans une étude récente.
Les amendes et les astreintes ont également une option
Pour le moment, le gouvernement ne peut que signaler les dangers, conseiller et croiser les doigts dans l’espoir que les choses ne vont pas mal, ce qui est actuellement à peu près l’arsenal du gouvernement. Grapperhaus veut changer cela « dans un délai prévisible », dit le ministre.
L’ imposition d’amendes ou d’astreintes est une option, mais elle n’est pas préférable. Grapperhaus : « Une amende peut être stimulante, mais avec cela vous n’avez pas encore été sûr que le problème a été résolu rapidement. » Et il pense donc plus à « une forme de persévérance. » « Ensuite, le NCSC lui-même ou avec l’entreprise travaillera ensemble pour résoudre le problème. »
Un gouvernement qui prend la direction d’une entreprise privée sur un point important : c’est une mesure de grande portée. Grapperhaus reconnaît cela aussi : « Ce n’est pas si facile à organiser, tout est très sensible. Nous ne voulons pas non plus d’un ministre ou d’un ministère qui arrive comme une sorte d’équipe A et qui dit : « Nous allons le faire comme ça ». L’interprétation précise est encore à l’étude.
Aucune excuse pour ne pas mettre à jour
Le ministre ne comprend guère que les entreprises peuvent avoir de bonnes raisons de ne pas mettre à jour directement leurs logiciels. Parfois, une mise à jour nécessite l’arrêt temporaire d’un processus métier, ce qui coûte des revenus. Ou l’équipement doit être remplacé car il ne peut pas gérer la dernière version du logiciel. Ce n’est pas ce que veut Grapperhaus : « Si c’est votre excuse pour prendre les précautions de sécurité ne prennent pas, vous êtes vraiment une boule d’huile incroyable. Si vous ne pouvez pas mettre à jour sans problème, vous n’avez pas quelque chose en ordre dans votre entreprise. ‘
Le gouvernement lui-même ne semble pas avoir ses affaires en ordre non plus. En outre, le ministère de la Justice et de la Sécurité n’a pas effectué la mise à jour nécessaire du VPN, comme le Volkskrant a rapporté samedi. Le ministre ne veut pas confirmer ce message, mais il ne renforce pas la position de Grapperhaus.
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